Quel a été le massacre de la place Tiananmen ?

Le massacre de la place Tiananmen était une réponse à une protestation dans lesRépublique populaire de Chine (RPC) en 1989. Aussi connu comme le quatrième de l'incident Juin, il s'est produit lorsque plusieurs vagues de protestations à travers le parcours de quelques mois a atteint son paroxysme. Le gouvernement de la RPC a débattu sur l'opportunité de tenter de désamorcer la situation par la discussion, mais a finalement décidé de supprimer militairement. Les estimations du nombre d'étudiants ont été tués aller de quelques centaines à plusieurs milliers. Cela a conduit à des critiques de masse et des sanctions à travers le monde, et elle est restée un sujet controversé dans le 21ème siècle.

carte de la Chine

Contexte

L'impulsion initiale pour les étudiants venant ensemble fut la mort de Hu Yaobang, qui avait été le secrétaire général du Parti communiste de la Chine communiste Party (CPP), mais a été contraint de démissionner en 1987 après plusieurs protestations. Hu a été considéré par beaucoup comme un réformateur, et bon nombre des politiques qu'il a adoptées en cours de mandat ont eu pour effet de rendre le gouvernement plus transparent et en supprimant un certain contrôle gouvernemental de l'économie. Ces types de changements a rendu très populaire auprès des gens, en particulier les étudiants, dont beaucoup ont été très frustrés par la corruption bureaucratique et le strict contrôle du parti du gouvernement.

Lorsque Hu est mort en Avril 1989, des milliers de personnes sont venues à son enterrement. Cela fait quelques fonctionnaires très mal à l'aise, car il a été officiellement déshonoré quand il est mort. Le parti a tenu une cérémonie publique peu de temps après, ce qui plus de 50.000 personnes y ont assisté. Renversement au sujet de la façon dont l'enterrement a eu lieu et au traitement de Hu par le parti, certaines personnes ont commencé une pétition au premier ministre, Li Peng, pour inverser le verdict qui lui démis de ses fonctions en 1987 et reconsidérer héritage officielle de Hu. D'autres ont envoyé une liste de demandes qui comprenaient des restrictions terminant sur les manifestations à Pékin, la collecte de fonds pour l'éducation, mettant fin à la censure de la presse, en disant que les opinions réformistes de M. Hu avait été correct, entre autres choses.

Escalation

 place Tiananmen

Comme de plus en plus pleureuses sont venus à Beijing, de petits groupes de gens ont commencé affrontements avec la police. Les gens ont commencé à se sentir très en colère contre la réponse du gouvernement à la mort de Hu ainsi que leurs griefs de longue date, et ont commencé à former des syndicats et des comités de protester. Malgré cela, la majorité des manifestants ne voulait pas renverser le gouvernement ou le parti, mais ils ne voulaient des réformes sérieuses. Cela a commencé à changer quand un éditorial a été publié le 26 Avril qui a conseillé de prendre une ligne dure avec les manifestants. Beaucoup plus de personnes ont rejoint les protestations et la violence ont commencé à augmenter.

Peu de temps après l'éditorial est sorti, le secrétaire général du parti, Zhao Ziyang, est rentré d'un voyage en Corée du Nord. Il a été consterné par l'attitude agressive que le gouvernement avait pris, et lui a conseillé de prendre une approche plus conciliante. Lui et Li Peng a fait valoir à ce sujet, mais Li Peng a convaincu le leader du classement général de la Chine, Deng Xiaoping, que les manifestations étaient une menace réelle pour la sécurité du pays et de la légitimité du parti, et que la répression militaire était nécessaire. Le parti a commencé à se sentir de plus en plus de pression que les gens ont continué à se joindre à la protestation et les étudiants ont commencé grève de la faim. Quand Zhao Ziyang a appris que Deng avait accepté de supprimer militairement les protestations, il a refusé d'y participer, et est allé parler aux manifestants, leur demandant de rentrer à la maison tranquillement avant la suppression commencé. Il a ensuite été purgé et passa le reste de sa vie en résidence surveillée jusqu'à sa mort en 2005.

Incident

Le 2 Juin, le parti a officiellement décidé d'envoyer l'Armée populaire de Libération (APL) pour effacer la place Tiananmen, et des soldats a commencé à aller dans Pékin le jour suivant. Les manifestants s'opposent violemment entre eux, avec de nombreux résidents de Pékin qui sortent dans les rues pour les empêcher de se rendre à la place. Au moment où l'armée a de la place Tiananmen, autour de 01h00, seulement quelques milliers de manifestants ont été laissés. Après avoir décliné une offre finale de l'amnistie , les soldats ont défilé sur la place et ont commencé à tirer dans la foule et battre les étudiants. La place a été totalement effacée par 05:40.

Conséquences

Le dégagement de la place Tiananmen a été critiquée dans le monde entier. Les Etats-Unis immédiatement mis sanctions économiques sur la Chine, et des manifestations de grande envergure a eu lieu à Hong Kong, Shanghai, Chengdu et d'autres villes. Beaucoup de personnes qui avaient protesté à Beijing ont quitté le pays, et de nombreux pays à travers le monde offre les visas et du statut de réfugié. Certains de ceux qui sont restés ont été arrêtés et condamnés à des peines de prison. Le massacre de la place Tiananmen reste un sujet interdit en Chine à partir de 2012 , et aucune mention de cela dans les médias, la littérature ou l'art est soumis à la censure.

Quelle est la différence entre un système parlementaire et présidentiel?

 La principale différence entre un régime parlementaire et présidentiel, c'est que dans un régime présidentiel, le président est séparée du corps législatif, mais dans un système parlementaire, le chef de la direction, comme un premier ministre, fait partie de l'organe législatif, ou le parlement. Un système présidentiel sépare les fonctions exécutives et législatives du gouvernement et fournit ce que l'on appelle communément des freins et contrepoids pour limiter le pouvoir de la fois le chef exécutif et le législatif. Dans un système parlementaire, le législateur a le pouvoir, et le chef de la direction doit répondre à la législature. Une autre différence principale est que dans un régime présidentiel, le chef de la direction et des membres du corps législatif sont élus séparément par le peuple, mais dans un système parlementaire, le législateur est élu par le peuple et doit ensuite nommer ou de recommander la nomination d'un de ses membres d'être le chef de la direction.

De nombreuses formes de gouvernement sont utilisés par les pays à travers le monde, et très peu de gouvernements sont complètement identiques, même s'ils utilisent le même type de système. Les systèmes présidentiels et parlementaires du gouvernement peuvent varier dans les détails spécifiques d'un pays à l'autre, mais certains aspects généraux sont généralement les mêmes dans les pays qui ont le même type de système. Par exemple, dans certains systèmes parlementaires, le corps législatif national est appelée un parlement, et dans d'autres, il peut être appelé par une expression telle que «l'Assemblée nationale», mais ils servent généralement aux mêmes fins, indépendamment de leurs noms. De même, les pouvoirs et fonctions spécifiques des présidents peuvent varier d'un pays à l'autre, mais ils sont généralement tous élus par le peuple et sont séparées du corps législatif.

Les systèmes présidentiels

Dans un régime présidentiel, le président est le chef du gouvernement et le chef de l'Etat.Comme le chef du gouvernement, il supervise les opérations du gouvernement et remplit certaines fonctions, telles que nomination des fonctionnaires et des conseillers pour aider à diriger le gouvernement, la signature ou le refuser lois votées par le législateur et l'établissement d'un rapport annuel du budget . Les fonctions d'un président comme chef de l'Etat comprennent des tâches telles que faire des discours, représentant le pays lors d'événements publics, d'hébergement ou visiter diplomates d'autres pays, et la présentation de prestigieux prix nationaux.

Systèmes parlementaires

Les rôles de chef d'Etat et chef de gouvernement sont souvent détenus par des personnes différentes dans un système parlementaire. Par exemple, un pays peut avoir un premier ministre qui agit à titre de chef du gouvernement et un monarque qui agit en tant que son chef d'Etat. Certains pays qui ont un système parlementaire ont aussi un président à la place d'un monarque, qui agit en tant que chef de l'Etat. Un pays qui a à la fois un premier ministre et un président se dit parfois d'avoir un système semi-présidentiel, mais il est plus étroitement lié à un système parlementaire à cause du pouvoir détenu par le législateur et le Premier ministre dans un tel système.

Efficacité législative

Une autre différence entre ces systèmes de gouvernement sont les effets que chaque système dispose sur des choses telles que l'efficacité et l'acrimonie politique. Dans un système présidentiel, parce que le chef de la direction et des membres de l'Assemblée législative sont élus séparément, il est possible pour le président d'être d'un parti politique et le législateur à être contrôlé par un parti politique différent. Cela peut provoquer la discorde au plus haut niveau du gouvernement et il est difficile pour l'exécutif et le législateur à atteindre leurs objectifs respectifs. Dans un système parlementaire, le premier ministre est presque toujours du parti politique qui contrôle la législature, donc il y a moins de discorde, et il est plus facile pour ce parti pour atteindre ses objectifs.

Retrait d'un chef de la direction

Les systèmes parlementaires et présidentielles se distinguent également par leur capacité à éliminer le chef de la direction du pouvoir. Dans un système parlementaire, il est beaucoup plus facile pour le législateur de supprimer le Premier ministre. Même un désaccord politique ou un manque de leadership efficace pourrait être une raison suffisante pour que cela se produise. Un président est plus difficile à retirer de son poste, et il est généralement possible que dans des cas extrêmes, comme lorsque le chef est accusé d'un crime grave.

Qu'est-ce qu'un Etat-nation?

Un État-nation est un état ou d'un pays, qui a défini les frontières et le territoire. Il est en outre un pays dans lequel une nation essentiellement le même type de personnes existe, organisé par la race ou culture. Dans l'État-nation, en général, tout le monde parle la même langue, probablement pratiquer les mêmes ou similaires types de religion, et de partager un ensemble d'»,« valeurs culturelles nationales
.

A partir de cette définition stricte, il est facile de voir que les États-Unis n'est pas un État-nation. Nous avons de multiples ethnies, le nombre de religions pratiquées, et des normes culturelles différentes. Même si les citoyens de la part américaine des mêmes frontières et du territoire, nous ne le faisons pas, dans le sens de l'État-nation, partagent une nationalité commune.

Une autre façon dont un État-nation ne peut exister, c'est quand il y a un groupe ethnique et culturelle définie qui existe sans frontières territoriales et le droit absolu de propriété sur ces frontières. Par exemple, lorsque les immigrants aux États-Unis a déclaré que le pays soit un Etat, de nombreuses tribus amérindiennes étaient des nations sans Etats. Les frontières des différentes nations amérindiennes ont été ignorées par l'État américain plus vaste, résultant en déplacement répétée de ces nations à d'autres régions et territoires. Ces territoires étaient seulement tenus à l'autorisation des Etats-Unis. Aujourd'hui, certaines tribus ne sont définies les frontières mais ils ont encore dans certains cas, peuvent être soumis aux lois des États-Unis, ce qui les rend pas pleinement États-nations.

En fait, la plupart des pays ne tombe pas complètement dans la définition de l'Etat-nation, puisque la plupart des pays ont des immigrants. Une fois que les immigrants viennent au pays, surtout en grand nombre, l'Etat-nation ne peut plus exister. Pays avec seulement un petit nombre d'immigrants peuvent encore être considérés comme contenant majoritairement la même ethnie et culture partagée et peuvent donc être considérés comme approchant l'État-nation théorique.

L'Islande est considéré presque un Etat-nation idéale puisque l'immigration en Islande est très faible. Japon vient aussi près d'être un État-nation parce que le sens de l'identité nationale et la langue commune est très forte. Ce n'est pas une coïncidence que ces deux pays sont des îles et donc moins «franchissement de la frontière» peut exister.

La République d'Irlande se rapproche de l'État-nation, si l'immigration vers d'autres pays a souvent conduit à des Irlandais plus au sud vivant à l'extérieur de la République de l'intérieur. Il a relativement peu d'immigrants, sauf le retour des ressortissants ou leurs descendants, ainsi que des actions d'une identité nationale forte. En République d'Irlande, l'État est fondée sur les principes de la nation, avec des lois faites en respectant les croyances catholiques profondes du pays.

Le désir de créer un État-nation peut être une des plus dévastatrices ceux des et peut se traduire soit par l'expulsion massive d'autres nationalités ou de nettoyage ethnique. Hitler a tenté d'établir l'Allemagne comme un Etat-nation par les premiers Juifs exil, et puis finalement, en tuant la majorité des résidents juifs en Allemagne et dans d'autres pays qu'il a conquis comme la Pologne. Tenter d'imposer un État-nation qui n'existe pas vraiment se traduit souvent par un nombre élevé de décès pour les grandes populations minoritaires et un manque d'humanité à l'extrême.

Quel était l'âge d'or islamique?

Carte abe de l'age d'or de l'islam

L'âge d'or islamique, aussi connu comme la Renaissance islamique, est une période de croissance et de l'activité culturelle et intellectuelle qui a persisté tout le monde islamique (du Maroc et de l'Espagne dans l'ouest de l'Afghanistan et le Pakistan à l'est) entre les 8e et 13e siècles , bien que quelques chercheurs affirment qu'il a continué jusqu'à ce que le 16ème siècle. L'âge d'or islamique a commencé lorsque le califat abbasside, les adeptes de la tradition de Mahomet, a transféré sa capitale à Damas en Turquie à Bagdad en 

 Grande Mosquée de Kairouan (en Tunisie), fondée en 670 (l'âge d'or islamique)

Originaire d’Al-Andalus, Averroès 

Les dirigeants du califat abbasside étaient amants de la connaissance et ils ont encouragé la création de nombreuses institutions publiques et universitaires pour faire avancer cette connaissance. Dans une «Maison de la Sagesse», en arabe traduits anciens savants irakiens, romaine,chinoise, indienne, perse œuvres, grecque, byzantine et d'Afrique du Nord vers leur langue maternelle et leur préservés pour la postérité. À cette époque, l'art secret de la fabrication du papier, obtenue à partir de prisonniers chinois en 751, est devenu connu pour les adeptes de l'islam, qui a ensuite construit de grandes usines de papier dans leurs capitales. Contrairement aux Chinois, qui ont préféré utiliser des brosses pour l'écriture, les Arabes avaient l'habitude stylos.

Certaines institutions fondées pendant l'âge d'or islamique comprennent l'hôpital public, hôpital psychiatrique, les bibliothèques publiques, les universités décernant des grades universitaires, et l'observatoire astronomique comme un institut de recherche. Aujourd'hui, l'Université d'Al Karaouine à Fès , au Maroc est considéré comme le plus ancien conférant des grades universitaires au monde, fondé en 859. La première université à part entière à l'Université Al-Azhar au Caire, en Egypte, a été fondée en 975. Ces universités ont été peuplées par polymaths, des universitaires qui ont excellé dans une variété de sujets profanes et religieux. L'âge d'or islamique avait un haut niveau d'alphabétisation et d'éducation.

Le Palais de l’Alhambra à Grenade (Espagne).

Par le 10ème siècle, les villes islamiques clés comme Bagdad, Tripoli, Le Caire et Cordoue ont eu d'énormes bibliothèques avec entre 600.000 et 3 millions de livres, dont beaucoup ont été détruits au cours des siècles suivants. Le corpus des connaissances générées au cours de cette période dépasse les ouvrages combinés de la Grèce antique et de Rome, et représente les premiers travaux scientifiques dans l'histoire. Conclusions fondamentales de l'optique, de la mécanique, de la physique, de l'agriculture, la chimie, les mathématiques,l'astronomie , et beaucoup d'autres champs ont été réalisés durant cette période. Des améliorations dans l'agriculture et la croissance industrielle a augmenté la taille de la population qui pourrait être soutenu par un montant fixe des agriculteurs.

Le large éventail de réalisations atteint au cours de l'âge d'or islamique sont difficiles à résumer dans un court article, au cours de laquelle des centaines ou des milliers de disciplines et d'industries modernes ont été initialement fondée. La toile de fond de l'âge d'or islamique est représentée aujourd'hui dans les œuvres de fiction comme Mille et Une Nuits , qui se compose de plus d'un millier d'histoires qui circulent à l'époque réunis dans un travail unifié. L'image d'un immense dôme doré mosquée ou un palais est représentatif de l'époque.

Qu'est-ce néocolonialisme?

Le néocolonialisme est un terme utilisé pour désigner l'idée que les pays qui ont historiquement agi comme colonisateurs peuvent exercer un pouvoir et un contrôle sur les anciennes colonies. Les théoriciens qui étudient le néocolonialisme soutiennent que les sociétés peuvent également être impliqués dans cette pratique, parfois avec le soutien des gouvernements et parfois agissant de leur propre chef. Il y a un certain nombre de facteurs qui contribuent au développement et à la persistance du néocolonialisme.

Ce concept a commencé à se produire en Afrique pendant le milieu du 20ème siècle, quand un certain nombre de pays africains ont commencé à réaliser l'indépendance du puissances européennes. Intellectuels d'Afrique ont fait remarquer que malgré le fait que ces pays étaient politiquement libre dans le sens où ils n'étaient pas légalement considérées comme des colonies, beaucoup n'avaient pas atteint la pleine liberté. Dans certains cas, leurs gouvernements étaient sous le contrôle des anciennes puissances coloniales, comme on le voit lorsque des gouvernements étrangers ont fait pression pour la nomination des personnes spécifiques à des positions de pouvoir, et beaucoup de ces pays avaient une dépendance économique sur leurs anciens colonisateurs.

L'un des domaines où néocolonialisme peut être plus clairement vu est dans le domaine de la politique économique et des pratiques commerciales. Quand ils étaient des colonies, de nombreux pays ont été exploitées pour les ressources naturelles. La pratique de l'exploitation des ressources par des puissances étrangères persiste sous le néocolonialisme et certains pays rencontrent une forte résistance quand ils tentent de nationaliser ou autrement reprendre le contrôle de leurs ressources..

La politique économique internationale peut contribuer à néocolonialisme, comme on le voit lorsque les anciennes colonies sont donnés des prêts à des conditions très restrictives afin de soutenir les initiatives de développement. Les sociétés actives dans les anciennes colonies peuvent utiliser leur influence pour forcer des concessions de la part du gouvernement national, y compris les assouplissements sur tout, de la réglementation environnementale aux tarifs commerciaux. Certains spécialistes affirment que les entreprises multinationales sont dans une position claire de la puissance et de l'abus de ce pouvoir pour créer des conditions commerciales favorables à leurs intérêts
.

L'héritage du colonialisme peut également jouer sur la forme de la politique sociale.Programmes d'aide à l'étranger sont parfois accusés de se livrer à néocolonialisme en forçant les valeurs et les politiques sur les pays qui en ont besoin sans tenir compte des contextes culturels ou historiques des crises humanitaires. De même, le monde développé est parfois accusée de se comporter d'une manière condescendante envers les pays en développement en les obligeant à adopter une politique plutôt que de leur donner les moyens d'agir de leur propre chef.

Le colonialisme et le néocolonialisme sont des sujets complexes et chargées. Il y a un certain nombre de moyens de résister à des attitudes sociales et culturelles laissées par le colonialisme, y compris repenser la politique économique et la façon dont les nations et les sociétés interagissent avec des membres du monde en développement.

Qu'est-ce que l'apartheid?

Apartheid est un mot afrikans signifiant "vivre à part". C'est un système ségrégationniste basé sur la politique raciste du parti national. La ségrégation raciale correspond à la séparation de personnes selon des critères de races, de croyances ou de coutumes.

Carte de l'Afrique du Sud durant l'Apartheid

L'apartheid était un système de séparation raciale légale qui a dominé la République d'Afrique du Sud de 1948 à 1993, cependant, les mécanismes de l'apartheid ont été mis en place bien avant 1948, et l'Afrique du Sud continue de faire face aux répercussions. Sous l'apartheid, différentes races ont été séparés en différentes régions, et la discriminationcontre les gens de couleur était non seulement acceptable, mais légalement ancrée, avec les Blancs ayant boîtier de priorité, les emplois, l'éducation et le pouvoir politique. Bien que l'Afrique du Sud a été fortement critiquée pour le système, ce n'est pas avant 1991 que le système juridique de l'apartheid a commencé à se décomposer, et en 1993 a été jeté tout à fait avec l'élection de
NelsonMandela, premier président noir démocratiquement élu d'Afrique du Sud . Le terme est également utilisé plus généralement dans le monde entier pour désigner le racisme systémique qui est toléré, plutôt que de faire face.

L'apartheid est un Afrikaans mot qui signifie «à part» ou «séparé», et l'une des premières lois de l'apartheid a été la Loi sur les zones de groupe de 1950, qui ségrégation des espaces de vie, en se concentrant blancs dans les villes et en forçant les gens de couleur dans les zones rurales ou les franges urbaines. En plus de séparer les blancs des non-blancs, l'apartheid a également séparé des races différentes, et la fraternisation entre les Africains de différentes tribus, les Asiatiques et les Européens a été désapprouvée. Blancs et non-Blancs occupé différents emplois, a vécu dans différentes régions, et ont été soumis à différents niveaux de rémunération, l'éducation et les soins de santé. Apartheid n'a prêté aucune attention à l'ancien statut social ou résidentiel, diviser les gens par couleur.

La rue principale de Kliptown, à Soweto. situé à 15 km au sud-ouest de Johannesburg.
(Conséquences de apartheid)

Quand nonwhites ont été poussés hors des zones urbaines, la plupart d'entre eux ont été mélangées dans des bantoustans, ou «homelands africains." Parce qu'ils ont été faits citoyens des bantoustans sud-africains noirs n'étaient pas autorisés à participer au gouvernement de l'Afrique du Sud, et ont été forcés de porter des passes et obéir aux lois de couvre-feu s'ils voulaient voyager à l'extérieur de leur pays d'origine. Les pays d'origine ont également été établies sur des terres qui était en grande partie inutilisables, et était   fortement tributaire de l'Afrique du Sud pour l'assistance. Le long de la périphérie de la ville, les Africains vivaient dans des massifs, de terribles bidonvilles, souvent séparés de leurs familles, car un seul membre de la famille peut obtenir un permis pour vivre dans la ville.

Nelson Mandela, avec beaucoup d'autres, est membre de l'African National Congress, un groupe qui a travaillé à abolir l'apartheid. Il a rejoint juste avant la Seconde Guerre mondiale, et faisait partie d'un effort important pour rendre le Congrès national africain Un mouvement national, en intégrant l'éthique de la résistance non violente, les grèves et la désobéissance civile de masse à se battre pour l'égalité des droits. En 1952, il a été jugé par un tribunal pour avoir participé à la campagne de Just Defiance, et une peine avec sursis. Il a passé du temps dans et hors de prison dans les années 1950 et est devenu un avocat pour aider les Noirs qui avaient été dépossédés sous l'apartheid.

En 1960, le Congrès national africain a été interdit, et Mandela fut l'un des membres fondateurs de l'Umkhonto we Sizwe, un violent les droits civiques organisation. Son adhésion a été de courte durée, cependant, en 1962, après un voyage hors du pays pour parler de la situation en Afrique du Sud et recevoir une formation militaire, Mandela a été emprisonné à vie, et pas libéré jusqu'en 1990. Le Congrès national africain a été réformé en 1991, que l'apartheid a commencé à être démantelé, et Mandela a été élu président de l'organisation, de passer à occuper le poste de président de l'Afrique du Sud en 1994, servant à 1999. En 1993, il a remporté le prix Nobel de la paix en reconnaissance de ses efforts pour mettre fin à l'apartheid en Afrique du Sud.